Titre : Abokar du Bouclier
Note : 6,5/10
Série : Nains Tome 10
Auteurs : Nicolas JARRY et Nicolas DEMARE
Genre : BD Fantasy
Dates de Lecture : le 7 février 2018
Edition et Date de parution : Soleil - 2017
Nombre de Pages : 53
Mon avis
La couverture :
Elle met à l'honneur celui qui donne son nom au Tome, avec un jeu d'embossage pour donner du relief. Plutôt chouette, Soleil fait vraiment de jolis albums. Le dessin de l'ensemble des séries me parle vraiment beaucoup et donc, en résumé : tip top !
Résumé :
Abokar est un seigneur de guerre malade. Peu sont ceux qui le savent mais il a décidé que cette bataille serait la dernière, il mourrait en héro et non pas décrépit dans ses propres fluides. C'était sans compter sur son premier lieutenant, un boiteux trop malin, qui va le tirer du champ de bataille à l'aide d'un volant. Ils atterrissent à l'écart et Abokar décide alors de déserter, prétendre qu'il est mort. Son premier lieutenant est finalement accusé d'être la cause de cette mort et exilé sur une muraille loin de la capitale. Ce qu'il va découvrir là -bas est un danger sans précédent.
Mon avis :
Encore une série de BD que mon compagnon achète (comme ça je divise les dépenses, c'est pas plus mal). J'avoue que je préfère cette série aux Elfes.
J'aime bien le langage fleuri des nains (glossaire à la fin des tomes à chaque fois), ils sont entiers comme on dit et c'est vraiment bien.
Pour ce tome-ci, j'ai été moins entraînée dans l'histoire. A croire que je deviens plus critique. Comme dit pour le personnage préféré, on aurait aussi bien pu suivre Dohan et ça aurait peut-être été mieux. Je le trouve plus attachant que le général gronchon.
Les dessins restent très beaux et le tome se lit en un rien de temps, sans compter les quelques références aux tomes précédents ici ou là .
Au final, un tome pas si pire même si l'histoire ne m'a pas emballée mais en même temps, c'est la force de ces séries, chaque tome est différent et le suivant peut rattraper le premier... A voir avec le tome 11 !
Personnage préféré : le capitaine Dohan, le tome aurait bien pu porter son nom aussi
Personnage le moins convainquant : le roi ennemi, il aurait certainement mérité plus de profondeur
