Titre : Flirt
Note : 7,5/10
Série : Anita Blake Tome 18
Auteur : Laurel K. HAMILTON
Genre : Bit-lit - Horeur
Titre original et Date de publication : Flirt - 2010
Dates de Lecture : 1 au 3 février 2018
Edition et Date de parution : Milady - 2016
Nombre de Pages : 234
La couverture :
Bon, une couverture typique d'un Anita Blake, qui fait croire sur les 6 ou 7 premiers tomes de la série que ce sera torride alors que bon... Il est vrai cependant que depuis, il y en a pas mal de la "romance sexy" #euphémisme
L'histoire :
Alors qu'elle déjeune seule, Anita est accostée par deux hommes, des lion-garous. Ceux-ci lui annoncent qu'elle doit les suivre si elle veut que ses petits amis survivent. En effet, des snipers les tiennent en joue et sont prêts à les abattre froidement si elle n’accepte pas de relevé un zombie pour leur client. A priori un deal assez simple... mais rien n'est jamais simple avec Anita et son bordel métaphysique.
Mon avis :
J'avais fait une longuuue pause dans ma lecture d'Anita Blake mais plus par
manque de matière (je ne trouvais pas ce volume en librairie) que par manque d'envie !
Concernant cette histoire, elle m'a bien plu. Pas autant de sexe que dans les volumes d'avant (ouf), plus de tension, de moment où on se demande ce qu'il va se passer et nettement moins de prise de tête avec ses petits amis. Pour une fois on retrouve Anita et juste Anita. Les mercenaires sont bien représentés je trouve, il n'y a que le méchant qui est... ma foi assez transparent.
Bref, un bon volume, juste ce qu'il me fallait pour me remettre dans le bain de l’Exécutrice !
Une petite note sur cette édition qui propose, en postface, un texte de l'auteure qui nous explique comment elle a eu l'idée de cette histoire et comment elle l'a fait mûrir. C'était très intéressant et pour les fans, je vous le conseil vraiment !
Personnage préféré : Jacob, je n'approuve pas ce qu'il fait mais je me suis assez vite attachée à lui
Personnage le moins convainquant : le grand méchant, il n'était vraiment pas convainquant dans son rôle, il joue ici un rôle tellement secondaire qu'on en viendrait presque à avoir pitié de lui